7 janvier 2015 Au sujet de la myopathie de Duchenne, le docteur AndrĂ© Gernez est formel un traitement simple appliquĂ© dĂšs la naissance stopperait cette maladie gĂ©nĂ©tique. Au sujet de la myopathie de Duchenne, le docteur AndrĂ© Gernez est formel un traitement trĂšs simple appliquĂ© dĂšs la naissance permettrait aux enfants mĂąles 99,9 % des myopathes sont des garçons de ne pas dĂ©velopper cette maladie gĂ©nĂ©tique. La myopathie est une dĂ©gĂ©nĂ©rescence progressive de lâensemble des muscles de lâorganisme. Cette maladie est due Ă une anomalie du gĂšne DMD, responsable de la production dâune protĂ©ine impliquĂ©e dans le soutien de la fibre musculaire. Le docteur Gernez, pĂšre de la thĂ©orie des cellules souches, expose avec clartĂ© le processus hormonal responsable de lâirrĂ©versible inorganogĂ©nĂšse » du muscle si aucun traitement nâest entrepris Ă la naissance. Tous les ans, lâAFM-TĂ©lĂ©thon bat une grande campagne mĂ©diatique pour ramener des fonds finançant la recherche et lâamĂ©lioration du quotidien des malades. Un pis-aller vache Ă lait ? quand on sait que la mĂ©thode prĂ©conisĂ©e par le Docteur Gernez nâest pas prise en compte en France alors quâelle a Ă©tĂ© testĂ©e avec succĂšs par plusieurs mĂ©decins auprĂšs des familles Ă risque et quâelle est reconnue Ă lâĂ©tranger. Extrait du documentaire AndrĂ© Gernez, le scandale du siĂšcle » Voir aussi notre hommage rendu Ă ce grand homme disparu en janvier 2014.
1Avec Le scandale de StrasbourgâŠ, les auteurs apportent un nouveau tĂ©moignage Ă©clairant dans cette affaire qui secoua lâuniversitĂ© de Strasbourg en 1966-1967, et qui prĂ©luda Ă Mai 68. Il est important dans la mesure oĂč il est donnĂ© par deux des principaux acteurs du scandale qui donnent leur version des faits plus de 50 ans aprĂšs. 2En effet, en mai 1966, un groupe dâĂ©tudiants contestataires, avec Ă leur tĂȘte AndrĂ© Schneider, prend la direction de lâAFGES, lâAssociation fĂ©dĂ©rative gĂ©nĂ©rale des Ă©tudiants de Strasbourg, dans le but de mener une action rĂ©volutionnaire. Quelques mois plus tard, en novembre 1966, ces mĂȘmes Ă©tudiants â dont AndrĂ© Bertrand, auteur Ă lâĂ©poque dâun comics intitulĂ© Le retour de la colonne Durutti â de concert avec des membres de lâInternationale situationniste, publient un pamphlet Ă lâorigine dâun scandale dont la presse locale, nationale et internationale se fait lâĂ©cho. IntitulĂ© De la misĂšre en milieu Ă©tudiant⊠le texte tire Ă boulets rouges sur lâUniversitĂ©, et plus largement sur la sociĂ©tĂ© dans son ensemble. 3La premiĂšre moitiĂ© de lâouvrage est consacrĂ©e Ă la vie quotidienne et Ă ce qui attire ces jeunes gens peu ordinaires dans la premiĂšre moitiĂ© des annĂ©es 60 Ă Strasbourg les lieux quâils frĂ©quentent alors cafĂ©s, tavernesâŠ, leurs lectures marxistes, anarchistes, dadaĂŻstes, situationnistesâŠ, leurs goĂ»ts musicaux jazz, rockâŠ, leurs amitiĂ©s, leurs mĆurs dĂ©bridĂ©es. De ces premiĂšres pages, on retient aussi dĂ©jĂ un goĂ»t certain pour la provocation. Câest sans nul doute une longue et nĂ©cessaire introduction qui Ă©claire dâun jour nouveau ces mois et ces annĂ©es qui prĂ©cĂšdent lâaction de ceux quâon nomme abusivement et par commoditĂ© les Situs » strasbourgeois. 4La suite nâen est pas moins intĂ©ressante dans la mesure oĂč elle dĂ©crit minutieusement la prise de contrĂŽle de lâAFGES, lâĂ©laboration puis la diffusion de De la misĂšre en milieu Ă©tudiant grĂące aux fonds de lâassociation Ă©tudiante, lâannonce de la liquidation de lâAFGES par ses dirigeants, sans oublier les suites sans fin de lâaffaire notamment lâaspect judiciaire, son Ă©cho au plan national Ă lâUNEF et Ă la MNEF, et les relations pour le moins compliquĂ©es entre la plupart des Strasbourgeois impliquĂ©s membres ou non de lâInternationale situationniste et Guy Debord. 5En sâappuyant sur des archives en partie inĂ©dites, le livre offre la possibilitĂ© aux auteurs de dire leur vĂ©ritĂ© » sur le scandale, de rappeler lâaction de certains de leurs amis et camarades parfois disparus on pense ici notamment Ă Daniel Joubert, de nuancer lâaction dâautres qui auraient beaucoup trop tirĂ© la couverture Ă eux. Il nâen reste pas moins que lâouvrage permet au lecteur de puiser Ă lâintĂ©rieur des faits Ă©clairants et de mieux replacer ce scandale » dans lâhistoire de lâuniversitĂ© de Strasbourg et, du fait de son Ă©cho national et international, plus largement dans lâhistoire sociale, politique et des idĂ©es de la seconde moitiĂ© du XXe siĂšcle.
DrAndrĂ© Gernez, le scandale du siĂšcle - Volume 2 es una pelĂcula dirigida por Jean-Yves Bilien. Estrenada el 01/01/2008, protagonizada por . RĂ©sumĂ©s Dans cet article, nous proposons en premier lieu une actualisation de lâarticle sur Le Breton publiĂ© par lâun de nous, Frank Kafker, dans Studies in Eighteenth-Century Culture en 1976. En mĂȘme temps, tout en nous concentrant sur lâengagement de Le Breton dans lâEncyclopĂ©die, nous situons ses rĂ©alisations dans un contexte plus large. En particulier, nous le comparons aux autres libraires associĂ©s de lâEncyclopĂ©die et aux autres libraires de son Ă©poque afin de faire ressortir sa spĂ©cificitĂ© en tant quâhomme dâaffaires. The aim of this article is first of all to update the article on Le Breton published by one of the authors Frank Kafker in Studies in Eighteenth-Century Culture in 1976. At the same time, while concentrating on Le Bretonâs involvement in the EncyclopĂ©die, we situate his activity in a wider context. We compare him in particular to the other booksellers associated with the EncyclopĂ©die and with other contemporary booksellers in order to bring out what made him different as a de page Notes 1 Frank A. Kafker, The Fortunes and Misfortunes of a Leading French Bookseller-Printer AndrĂ©-François Le Breton, Chief Publisher of the EncyclopĂ©die », Studies in Eighteenth-Century Culture, V, 1976, p. 371-385. 2 Marie-Anne Merland et Jehanne Reyniers, La Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton, imprimeur et libraire de lâEncyclopĂ©die », Revue française dâhistoire du livre, XXII, janvier Ă mars 1979, p. 61-90. 3 Georges Lepreux, Livre dâor des Imprimeurs du Roi, dans Gallia typographica, 5 vols., Paris, Champion, 1909-1914, sĂ©rie parisien, I, premiĂšre partie, p. 298, p. 302-303 ; Merland et J. Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 61-65 ; DâAlembert, ALMANACH, dans Enc., I, p. 290. 4 Louis-SĂ©bastien Mercier, Tableau de Paris, nouvelle Ă©dition, Amsterdam, 1782-1783, IV, p. 9. Sur Le Breton et lâAlmanach voir G. Lepreux, Livre dâor, premiĂšre partie, p. 298-299, p. 303-304 ; seconde partie, p. 167-168 ; John Grand-Carteret, Les Almanachs français, Paris, Alisie, 1911, p. 26-28. 5 G. Lepreux, premiĂšre partie, p. 140-143,152-153, 301 ; mĂ©moires relatifs Ă la dispute entre Jacques-François Collombat et la veuve dâHoury et Le Breton, 1734, 1748, 22077, f. 193-194 piĂšce 81, 203-206 piĂšce 86 ; Grand-Carteret, Almanachs français, p. 31-32. 6 James Doolittle, The Four Booksellers and the EncyclopĂ©die », dans Literature and Society, Ă©d. Bemice Slote, Lincoln, University of Nebraska Press, 1964, p. 23-25. Pour les postes de Le Breton voir aussi G. Lepreux, premiĂšre partie, p. 298-300, p. 304 ; seconde partie, p. 170, 172, 202 ; Madeleine Pinault Sorensen, Le Breton, AndrĂ©-François », dans Dictionnaire de Diderot, Ă©d. Roland Mortier et Raymond Trousson, Paris, Champion, 1999, p. 269. 7 Rapport de police sur Le Breton, le 1er janvier 1752, BN. fr. 22107, f. 91. 8 Ibid. 9 Merland et J. Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », 66, p. 73-74. 10 Corn, I, p. 222n ; Merland et J. Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 73-74. 11 Voir par exemple Jacques Mitterand et al., Franc-maçonnerie », t. IX, Encyclopaedia universalis Corpus, Paris, Encyclopaedia universalis, 1993, p. 935. 12 Pierre Chevallier, Les Ducs sous lâacacia ou les premiers pas de la Franc-Maçonnerie française, 1725-1743, Paris, Vrin, 1964, p. 23-24, et 51-52. Sur les tentatives de trouver de la franc-maçonnerie dans lâEncyclopĂ©die, y compris chez Le Breton, voir Frank A. Kafker, Some Observations on Five Interpretations of the EncyclopĂ©die », Diderot Studies, XXIII, 1988, p. 92-94. 13 Pour la date de son dĂ©cĂšs voir Corr., XV, note p. 104. 14 G. Lepreux, premiĂšre partie, p. 300-301, 304 ; Merland et J. Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 83. 15 Hemi BailliĂšre, La Rue Hautefeuille », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique du VIe arrondissement de Paris, III, janvier Ă juin 1900, p. 243 ; Merland et J. Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 73. 16 Jean Haechler, LâEncyclopĂ©die Les Combats et les hommes, Paris, Les Belles Lettres, 1998, p. 272-273. 17 CL, IX, p. 208 le lerjanvier 1771. Selon deux estimations, les revenus annuels de lâAlmanach seraient dâĂ peu prĂšs 40 000 ou 65 000 livres. Voir Mercier, Tableau de Paris, IV, p. 12 ; G. dâAvenel, Les Revenus dâun intellectuel de 1200 Ă 1913, Paris, Flammarion, 1922, p. 313. 18 Louis Petit de Bachaumont et al.. MĂ©moires secrets, 36 vols., Londres, Adamson, 1784-1789, VII, p. 121, 123 le 1er et 7 fĂ©vrier 1774 ; Grand-Carteret, Almanachs français, 28 ; Gazette de France, 13 janvier 1775, p. 18. 19 Bachaumont et al.. MĂ©moires secrets, X, 3-4 5 janvier 1777. 20 Ibid., X, 6 10 janvier 1777. 21 G. Lepreux, premiĂšre partie, p. 300-301, 304 ; Antoine-Gaspard Boucher dâArgis, CONSULS DES MARCHANDS, dans EncyclopĂ©die, IV, 103-105. 22 Jacques Roger, Dictionnaire universel de mĂ©decine traduit de lâanglais de Robert James », in DPV, I, p. 155-163 ; Merland et Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 66 ; Wilson, p. 45. 23 Lael Ely Bradshaw, Ephraim Chambersâ Cyclopaedia », dans Notable Encyclopedias of the Seventeenth and Eighteenth Centuries Nine Predecessors of the EncyclopĂ©die, Ă©d. Frank A. Kafker, Oxford, Voltaire Foundation, 1981, 138-139. 24 Haechler, p. 24-25 ; IrĂšne Passeron, Quelles Ă©ditions de la Cyclopaedia les encyclopĂ©distes ont utilisĂ©es ? », RDE, 40-41, 2006, p. 287. 25 John Lough, The EncyclopĂ©die, London, Longman, 1971, p. 7-14 ; Linn Holmberg, The Forgotten Encyclopedia The Mauristsâ Dictionary of Arts, Crafts, and Sciences, the Unrealized Rival of the EncyclopĂ©die of Diderot and DâAlembert », thĂšse doctorale, UmeĂą University, SuĂšde, 2014, p. 127-128. Voir aussi Haechler, p. 30-31. 26 L. Holmberg, p. 128-132. 27 En 1745, on prĂ©voyait que lâEncyclopĂ©die comprendrait cinq volumes, et le contrat passĂ© avec Diderot le 16 octobre 1747 suggĂšre une durĂ©e de trois ans et demi. Voir J. Proust, p. 47 et 51 ; Wilson, p. 67-68. 28 Frank A. Kafker et Jeff Loveland, La Vie agitĂ©e de lâabbĂ© De Gua de Malves et sa direction de lâEncyclopĂ©die », RDE, 47, 2012, p. 197-205. 29 Ibid., p. 199-201 ; Frank A. Kafker, The Encyclopedists as a Group A Collective Biography of the Authors of the EncyclopĂ©die, Oxford, Voltaire Foundation, 1996, p. 37-41 ; Frank A. Kafker et Madeleine Pinault Sorensen, Notices sur les collaborateurs du recueil de planches de lâEncyclopĂ©die », RDE, 18-19, 1995, p. 200-229. 30 Ralph Bowen, The EncyclopĂ©die as a Business Venture », dans From the Ancien RĂ©gime to the Popular Front, Ă©d. Charles K. Warner, New York, Columbia University Press, 1969, p. 4-11 ; Wilson, p. 68-69,97-98,102 ; Jacques Proust, p. 48-49,51. 31 John Lough, The EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England and Other Studies, Newcastle, Oriel Press, 1970, p. 105 ; Frank A. Kafker, Les Ventes de lâEncyclopĂ©die », dans Sciences, musiques, LumiĂšres MĂ©langes offerts Ă Anne-Marie Chouillet, Ă©d. Ulla KĂŽlving et IrĂšne Passeron, Femey, Centre international dâĂ©tude du XVIIIe siĂšcle, 2002, p. 557-561 ; J. Proust, Diderot et lâEncyclopĂ©die, 3e Ă©dition, Paris, Albin Michel, 1995, p. 52. 32 G. L. Von Roosbroeck, Who Originated the Plan of the EncyclopĂ©die ? », Modern Philology, XXVII, 1929-1930, p. 383-384 ; J. Lough, EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England, p. 3-8 ; Frank A. Kafker et Jeff Loveland, Antoine-Claude Briasson et lâEncyclopĂ©die », RDE, 35,2003,134-135 ; David Adams, Formey continuateur de lâEncyclopĂ©die »,RDE, 13,1992,p. 117-119. 33 AndrĂ©-François Le Breton, ENCRE NOIR, dans EncyclopĂ©die, V, 633. 34 Frank A. Kafker, EncyclopĂ©die, ou dictionnaire raisonnĂ© des sciences, des arts et des mĂ©tiers, par une sociĂ©tĂ© de gens de lettres », dans Dictionnaire de Diderot, p. 159. 35 Ibid. ; J. Lough, EncyclopĂ©die, p. 22-27 ; J. Lough, EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England, p. 107, 122-123. 36 Wilson, p. 302-306, 361, 390-391. 37 Sur BrullĂ© voir Frank A. Kafker, BrullĂ© lââOstrogotheâ identifiĂ© », RDE, 27, 1999, p. 105-109. 38 Marie-AngĂ©lique de Vandeul, MĂ©moires pour servir Ă lâhistoire de la vie et des ouvrages de Diderot », dans DPV, I, p. 23. 39 Douglas H. Gordon et Norman L. Torrey, The Censoring of Diderotâs EncyclopĂ©die and the Re-Established Text, New York, Columbia University Press, 1947, 35, p. 62, 67-107. 40 Ibid., p. 48-53. Selon Jean Haechler, au contraire, Jaucourt fut le premier lĂ©sĂ© », notamment dans son article TOLĂRANCE, complĂštement supprimĂ©. Voir Haechler, p. 355-356. 41 Gordon et Torrey, Censoring of Diderotâs EncyclopĂ©die, 33, 39-41. Sur la censure de Le Breton voir aussi Wilson, p. 390-98, 406 ; J. Lough, EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England, 76-89 ; Kafker, Encyclopedists as a Group, p. 93-100. 42 Ibid., p. 96. 43 CL, IX, 208 le 1er janvier 1771. 44 Pour des doutes Ă ce sujet voir Lough, EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England, p. 86. 45 Diderot Ă Le Breton, [12 novembre 1764], dans Corn, IV, p. 302. 46 Pour ses impressions des Le Breton voir Diderot, Corn, surtout I, p. 196 ; II, p. 120 ; III, p. 322-324, 337-338, 343 ; IV, p. 82-83,105-106, 154, 192-193, 300-306 ; V, p. 16, 64-65, 91-92 ; IX, p. 28-35, 239-244 ; XL, p. 115. 47 Diderot Ă Sophie Volland, [18 aoĂ»t 1765], Corn, V, p. 92-93. 48 Françoise Weil, LâImpression des tomes VIII Ă XVII de lâEncyclopĂ©die », RDE, I, 1986, p. 90-93. 49 CL, IX, p. 207 le 1er janvier 1771. 50 G. Lepreux, premiĂšre partie, p. 300 ; Wilson, p. 418-420 ; Kafker, Encyclopedists as a Group, p. 112n. 51 Sur les Ă©ditions en français voir Madeleine F. Morris, The Tuscan Editions of the EncyclopĂ©die », dans Notable Encyclopedias of the Late Eighteenth Century Eleven Successors of the EncyclopĂ©die, Ă©d. Frank A. Kafker, SVEC, 1994, p. 51-84 ; Kathleen Hardesty Doig, The Quarto and Octavo Editions of the EncyclopĂ©die », dans Notable Encyclopedias of the Late Eighteenth Century, p. 117-142 ; Jean-Daniel Candaux et al., Ă©ds., LâEncyclopĂ©die dâYverdon et sa rĂ©sonance europĂ©enne Contextes â contenus - continuities, Geneva, Slatkine, 2005 ; Frank A. Kafker, Epilogue The Tortoise and the Hare The Longevity of the Encyclopaedia Britannica and the EncyclopĂ©die Compared », dans The Early Britannica The Growth of an Outstanding Encyclopedia, Ă©d. Kafker et Jeff Loveland, SVEC, 2009, p. 299-300. 52 Sur les profits des libraires voir Lough, EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England, surtout p. 105-114, 142-153 ; John Lough, Essays on the EncyclopĂ©die of Diderot and DâAlembert, London, Oxford University Press, 1968, p. 59-61 ; J. Proust, p. 57-58. 53 J. Lough, EncyclopĂ©die, p. 29-30 ; Wilson, p. 481,502-504 Bachaumont et al.. MĂ©moires secrets, VI, p. 150-151, 153-158 19 et 23 juin et le 1er juillet 1772, IX-XII, passim. 54 Merland et Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », 75, 86-87 ; Giles Barber, Who Were the Booksellers of the Enlightenment ? », dans Studies in the Booktrade of the European Enlightenment, London, Pindar Press, 1994, p. 269. 55 Insinuation du testament dâAndrĂ©-François Le Breton, 12 novembre 1779, Archives de Paris, MSS, DC6 258, f. 98-100. Voir aussi lâinsinuation du testament de Marguerite Vaux, 17 dĂ©cembre 1785, Archives de Paris, MSS, DC6 263, f. 13ff testament Le Breton, 30 aoĂ»t 1779, AN, MC, MSS, XXVII, 405 ; codicille Le Breton, 5 octobre 1779, AN, MC, MSS, XXVII, 406 ; inventaire Le Breton, 11 octobre 1779, AN, MC, MSS, XXVII, 406 ; testament Mme le Breton, le 10 aoĂ»t 1782, AN, MC, MSS, C 852. 56 Pinault SĂžrensen, Le Breton, AndrĂ©-François », p. 269 ; Merland et Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 84. 57 FrĂ©dĂ©ric Barbier et al.. Dictionnaire des imprimeurs, libraires et gens du livre Ă Paris, 1701-1789, GenĂšve, Droz, 2007,1, p. 308 ; Frank A. Kafker et Serena L. Kafker, The Encyclopedists as Individuals A Biographical Dictionary of the Authors of the EncyclopĂ©die, SVEC, 1988, p. 93 ; Frank A. Kafker et Jeff Loveland, The Elusive Laurent Durand, a Leading Publisher of the French Enlightenment », SVEC, XII, 2005, p. 224. 58 Micheline Zephir, Les Libraires et imprimeurs parisiens Ă la fin du XVIIIe siĂšcle 1750-1789 », diplĂŽme dâarchiviste palĂ©ographe, Ăcole nationale de Chartres, 1974, p. 228. 59 Robert Damton, The Literary Underground of the Old Regime, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1982, p. 197. 60 Denis Diderot, Le Neveu de Rameau, dans Lew, X, p. 308. 61 Kafker et Loveland, Antoine-Claude Briasson », p. 139-140. 62 Antoine-Alexandre Barbier, Dictionnaire des ouvrages anonymes et pseudonymes, 3 vols., Paris, Imprimerie bibliographique, 1806-1809, III, p. 161. 63 Rapport de police sur David, le 1er janvier 1752, BnF, fr 22106, f. 270. 64 Georges Minois, Le TraitĂ© des trois imposteurs Histoire dâun livre blasphĂ©matoire qui nâexistait pas, Paris, Albin Michel, 2009, p. 189-240. 65 Rapport de police sur Durand, le 1er janvier 1752, BnF, fr 22107, f. 26. 66 Kafker et Loveland, Elusive Laurent Durand », p. 250-252. 67 Ibid., p. 257. 68 Rapport de police sur Le Breton, le 1er janvier 1752, BnF, fr 22107, f. 91. 69 Ibid. Voir aussi Frank A. Kafker et Jeff Loveland, Diderot et Laurent Durand, son Ă©diteur principal », RDE, 39, 2005, p. 31-32. 70 Athanase Coquerel, Jean Calas et sa famille, Paris, Cherbuliez, 1858, p. 495-496. En plus, Le Breton imprima le MĂ©moire 1762 de Pierre-Jean Mariette au moins deux fois, comme lâindiquent, par exemple, les diffĂ©rences considĂ©rables entre les exemplaires de lâUniversity of Minnesota et lâUniversity of Wisconsin. 71 Elle figure, par exemple, dans lâexemplaire de la BibliothĂšque municipal de Lyon, tandis quâelle manque dans les exemplaires de la British Library, de FUniversity of Michigan et de Princeton University. 72 [AndrĂ©-François Le Breton], prĂ©face, dans MĂ©moire Ă consulter, et consultation pour la dame Anne-Rose Cabibel, veuve Calas, & pour ses enfans, Paris, Le Breton, 1762. 73 Voltaire pensait que ses pamphlets seraient publiĂ©s par le libraire Joseph Merlin, mais il se peut que Le Breton, protecteur de Merlin, se chargeĂąt de lâimpression. Voir Voltaire Ă Etienne-NoĂ«l Damilaville, 10 octobre [1762], dans Correspondance, Ă©d. Theodore Besterman, 107 vols., GenĂšve, Institut et musĂ©e Voltaire, 1953-1965, L, 81 ; Besterman, Ă©d., Correspondance [de Voltaire], L, 81-82 ; Zephir, Libraires et imprimeurs parisiens », 299. 74 [Le Breton], prĂ©face, dans MĂ©moire Ă consulter. 75 Diderot Ă Volland, [16 septembre 1762], dans Com, IV, p. 153-154. 76 Jean-Yves Mollier, Le Contexte Ă©ditoriale du XIXe siĂšcle », Revue Jules Verne, XXVI, 2007, p. 24. 77 Ibid., p. 24 ; Jean-Yves Mollier, EncyclopĂ©die et commerce de la librairie du XVIIIe au XXe siĂšcle », dans LâEntreprise encyclopĂ©dique, Ă©d. Jean Bouffartigue et Françoise MĂ©lonio, Nanterre, Centre des Sciences de la LittĂ©rature, UniversitĂ© Paris X, 1997, p. 297. 78 Kafker et Loveland, Antoine-Claude Briasson », p. 131-132 ; Barbier et al.. Dictionnaire des imprimeurs, I, p. 309. 79 Kafker et Loveland, Elusive Laurent Durand », p. 253-257. En 1788, Panckoucke sâapprochait de la faillite. Voir Robert Darnton, The Business of Enlightenment A Publishing History of the EncyclopĂ©die, 1775-1800, Cambridge, Mass., Harvard University Press, 1979, p. 473. 80 Grimm et al.. Correspondance littĂ©raire, VII, 45 15 mai 1766. Sur lâachat de la maison voir aussi J. Lough, EncyclopĂ©die in Eighteenth-Century England, p. 52-53. 81 Ibid., 53 ; Merland et Reyniers, Fortune dâAndrĂ©-François Le Breton », p. 76. 82 Ibid., p. 72. 83 Kafker, Encyclopedists as a Group, p. de page Pour citer cet article RĂ©fĂ©rence papier Frank A. Kafker et Jeff Loveland, AndrĂ©-François Le Breton, initiateur et libraire en chef de lâEncyclopĂ©die », Recherches sur Diderot et sur l'EncyclopĂ©die, 51 2016, 107-125. RĂ©fĂ©rence Ă©lectronique Frank A. Kafker et Jeff Loveland, AndrĂ©-François Le Breton, initiateur et libraire en chef de lâEncyclopĂ©die », Recherches sur Diderot et sur l'EncyclopĂ©die [En ligne], 51 2016, mis en ligne le 25 novembre 2018, consultĂ© le 17 aoĂ»t 2022. URL ; DOI de page L'intĂ©rĂȘt du syndrome de Plummer-Vinson en cancĂ©rologie » Paris mĂ©dical 14 mai 1949, Plantilla:NÂș. (citĂ©, ainsi que le prĂ©cĂ©dent, dans l'ouvrage Iron Metabolism, chapitre Iron deficiency, de I. BernĂ t, Ed. Springer, 1983:215-274) FilmografĂa. AndrĂ© Gernez, Le Scandale du siĂšcle, DVD 1, direcciĂłn Jean-Yves Bilien, 2007. Il l'a achetĂ© dans un magasin de plomberie et de sanitaires de la sociĂ©tĂ© Mott Iron Works, Ă New York. Un simple urinoir en porcelaine qui va faire exploser la tuyauterie bien rĂ©glĂ©e du monde de l'art, ses salons, dont mĂȘme les rebelles restaient quand mĂȘme des peintres. Marcel Duchamp prend le bateau pour New York en 1915, peu aprĂšs le dĂ©but de la PremiĂšre Guerre 27 ans, le fils d'un notaire normand refuse de partir au front. L'artiste a toujours assumĂ© son peu de patriotisme. Celui que le poĂšte surrĂ©aliste AndrĂ© Breton a qualifiĂ© d' homme le plus intelligent du XXe siĂšcle » prĂ©fĂšre jouer aux Ă©checs que faire la guerre, inventant des coups que nul n'avait imaginĂ©s. Sur l'Ă©chiquier comme dans son atelier. L'art ? Ăa l'ennuie, mĂȘme s'il en vit. Ses deux frĂšres, Jacques Villon et Raymond Duchamp-Villon, sont des artistes reconnus, encore aujourd'hui. Une rĂ©trospective consacrĂ©e Ă sa peinture, au Centre Pompidou en 2014, a montrĂ© que Marcel Duchamp n'avait rien du petit malin ou de l'imposteur. Fauve, cubiste, abstrait, surrĂ©aliste, c'est un peintre accompli. Mais pour lui, tout ça ne tient plus. La photographie a portĂ© un premier coup Ă la peinture. Duchamp veut l'achever. A bout portant. En 1912, il visite au Grand Palais le salon de la locomotion, avec ses premiers avions, la naissance du monde moderne. C'est fini la peinture. Qui ferait mieux que cette hĂ©lice ? » s'Ă©crie-t-il. Mais une hĂ©lice, c'est encore trop beau. Duchamp se mĂ©fie autant du bon goĂ»t que du mauvais. Il veut choisir au hasard n'importe quel objet â une pelle Ă neige et une roue de vĂ©lo, ses premiĂšres tentatives avant l'urinoir â et le mettre au musĂ©e, ou dĂ©jĂ , en galerie il invente le ready-made, un objet manufacturĂ© du quotidien qui, exposĂ© dans un autre cadre, change de sens. Au sens littĂ©ral. Son urinoir, Duchamp le retourne de haut en bas, et l'appelle Fontaine ». Il le signe Ă la peinture noire, malicieusement et anonymement, R. Mutt », Richard Mutt. Un jeu de mots comme l'auteur de la Joconde Ă moustache intitulĂ©e », autre provocation en 1919, les affectionne Mutt signifie crĂ©tin, ou clĂ©bard. Richard le crĂ©tin, le cabot. Mutt est un clin d'oeil discret Ă l'entreprise Mott qui a fabriquĂ© l' l'Ă©poqueLe 17 avril 1917 s'ouvre Ă New York le salon de la SociĂ©tĂ© des artistes indĂ©pendants 1 100 exposants, 2 500 Ćuvres. L'urinoir Fontaine » passe inaperçu. On a longtemps dit qu'il avait Ă©tĂ© refusĂ© par les organisateurs. Ce que Duchamp, dans ses Entretiens avec Pierre Cabanne » réédition rĂ©cente chez Allia, parus en 1967, un an avant sa mort, a dĂ©menti cet Ă©lĂ©ment d'une pissotiĂšre aurait Ă©tĂ© entreposĂ© n'importe oĂč dans l'immense espace, et perdu. Puis scandale Ă©clate quand l'urinoir est Ă nouveau exposĂ© dans une galerie new-yorkaise renommĂ©e, un peu plus tard, et photographiĂ© dans une revue d'art. La lĂ©gende est en marche. Les surnoms pleuvent Madonna of the Bathroom », la madone des toilettes, ou le bouddha de la salle de bains ». Duchamp, dandy, chercheur, bricoleur, mondain et solitaire Ă la fois, n'en faisait pas une affaire ni un titre de gloire. Gabrielle Buffet, la femme du peintre surrĂ©aliste Francis Picabia, le meilleur ami de Duchamp, rĂ©suma plus tard ce climat Tout cela se passait en pleine guerre. Notre agressivitĂ© Ă©tait une rĂ©volte. » Aux chiottes, monde pourri ! Un jour, pour ses frais dentaires, Duchamp avait signĂ© un faux chĂšque dessinĂ© trĂšs scrupuleusement Ă la main, restĂ© comme le chĂšque Tzanck », du nom de son dentiste. Une oeuvre » qui vaut aujourd'hui beaucoup plus cher que le coĂ»t de la consultation.Voicile 2Ăšme volume du film âle scandale du siĂšcleâ Avec le Dr AndrĂ© Gernez et rĂ©alisĂ© par Jean-Yves Bilien. Un film Ă ne pas manquer. Un film Ă ne pas manquer. AprĂšs plus de 30 ans de silence, ce documentaire nous rĂ©vĂšle un secret dâĂ©tat.Aujourdâhui je vais vous parler des grands scandales de lâhistoire de lâart. On commence avec Constance, pas notre Constance Ă nous, notre institutrice prĂ©fĂ©rĂ©e, notre Constance Lation, notre fĂ©e, comme elle le dit elle-mĂȘme, non, il sâagit de Constance QuĂ©niaux. Mais qui est Constance QuĂ©niaux ? On pourrait dire que, de sa physionomie, nous nâavons quâune vue partielle, sans que ça enlĂšve une once dâintensitĂ© Ă la qualitĂ© de sa beautĂ©. En fait on ne connait dâelle que la vision de son sexe fĂ©minin, câest donc la foufoune la plus cĂ©lĂšbre du monde. Vous lâaurez devinĂ©, je vous parle du modĂšle de lâorigine du monde de Gustave Courbet, qui vient dâĂȘtre identifiĂ© rĂ©cemment, une ancienne danseuse de lâOpĂ©ra de Paris, qui Ă©tait en 1866 la maitresse de Khalil Bey, diplomate turco-Ă©gyptien, grande figure de la nuit parisienne et commanditaire de ce tableau, qui se retrouvera bien plus tard, le tableau, chez le psychanalyste Jacques Lacan, cachĂ© derriĂšre un autre tableau bien sur, avant de rĂ©intĂ©grer dignement sa place dans un musĂ©e, le MusĂ©e dâOrsay en 1995. Autre scandale cĂ©lĂšbre, la fontaine, de Marcel Duchamp, qui fut refusĂ©e au premier salon des indĂ©pendants Ă New York en 1917. En fait de fontaine, il sâagit dâun urinoir renversĂ©. En faisant cela, Duchamp, qualifiĂ© par AndrĂ© Breton dâhomme le plus intelligent du siĂšcle, invente un concept, le ready made, qui consiste Ă exposer un objet manufacturĂ© aprĂšs lâavoir simplement signĂ© et datĂ©, transformant un bien de consommation courante en Ćuvre dâart par simple intention artistique. Plus tard Andy Wharol va sâengouffrer dans cette brĂšche. Dans la musique maintenant, premier scandale La querelle des bouffons. Nous sommes en 1752, sous le roi Louis XV. Jean-Philippe Rameau, musicien de gĂ©nie qui thĂ©orisa la musique en la simplifiant, faisant dire plus tard Ă Levi-Strauss que Rameau inventa le structuralisme, Ă©crit des OpĂ©ras avec une modernitĂ© qui, loin de choquer le public, est plĂ©biscitĂ©e. Vous rendez-vous compte du paradoxe, câest comme si Boulez Ă©tait number one des playlists de Spotify et quâil faisait danser les mĂŽmes sur Tic Toc. Jalousie bien sur des autres compositeurs, et notamment de celui qui va ĂȘtre le plus violent, Jean Jacques Rousseau, qui ne jure que par lâOpĂ©ra Italien, OpĂ©ra Bouffa, dâoĂč querelle des bouffons. Oui, notre Jean-Jacques se targuait en plus dâĂȘtre un nouveau philosophe, dâĂȘtre compositeur. Bon, câĂ©tait pas son meilleur truc, il se fait mĂȘme traiter par Rameau de petit plagiaire sans envergure. VexĂ©, il va dire alors que les opĂ©ras chantĂ©s en français, comme ceux de Rameau, câest de la merde. Que le français, câest pas une langue faite pour le chant. VoilĂ ce quâil dit dans le texte Je crois avoir fait voir qu'il n'y a ni mesure ni meÌlodie dans la Musique Françoise, parce que la langue n'en est pas susceptible; que le chant François n'est qu'un aboiement continuel, insupportable aÌ toute oreille non preÌvenue, que l'harmonie en est brute, sans expression, et sentant uniquement son remplissage d'Ă©colier; que les airs François ne sont point des airs; que le reÌcitatif François n'est point du reÌcitatif. D'ouÌ je conclus que les François n'ont point de Musique et n'en peuvent avoir, ou que si jamais ils en ont une, ce sera tant pis pour eux. » Vous vous rendez compte, quel sale mec, tout ça parce quâil Ă©tait jaloux de Rameau. Alors ça mâamĂšne au dernier scandale, contemporain celui lĂ , il a lieu ce soir, Ă lâoccasion des 36Ăšmes victoires de la musique. Il concerne les rĂ©vĂ©lations. 6 artistes Je les cite NoĂ© Preszow, Clou, Yseult, Hatik, Lous & the Yakuza et HervĂ©. Vous ne remarquez rien ? Il nây a rien qui vous dĂ©range ? Vous ne sentez pas le scandale ? Les Disruptives ne sont pas mĂȘme mentionnĂ©s. Le groupe formidable de Guillaume Meurice, dont le chant pour, paraphraser Rousseau, est un si bel aboiement continuel. Allez, pour se consoler de ce scandale, Yseult, il faut bien toute la douceur, la puissance et lâEros de sa voix pour consoler notre Guillaume national Ă qui je fais un big up. Yseult .. CettedĂ©claration s'appuyait sur les dĂ©couvertes du docteur AndrĂ© Gernez, mĂ©decin français cancĂ©rologue et physiopathologiste. Technologie et hygiĂšne bucco-dentaire PostĂ© par SANTE PARODONTE le 11/12/2016 Les maladies parodontales sont, parmi les affections chroniques Ă Ă©volution lente, les plus rĂ©pandues et atteignent lâhomme dĂšs son jeune Ăąge. Toutefois, grĂące Ă lâapport de la technologie moderne, on dispose de moyens efficaces pour en assurer la prĂ©vention aussi bien que le traitement. Ceux-ci sont basĂ©s sur les dĂ©couvertes scientifiques des cinquante derniĂšres annĂ©es portant sur la physiopathologie et lâĂ©pidĂ©miologie de la carie et de la plaque bucco-dentaire. Lâanalyse des Ă©checs des moyens de prĂ©vention traditionnels a permis de concevoir et de rĂ©aliser des appareils Ă©lectromĂ©caniques plus efficaces dans la lutte contre les facteurs Ă©tiologiques de ces maladies. Commentaires Lire la suite... ĂVALUATION IN VITRO DE LA RĂTENTION DE MICRO-ORGANISMES EN FONCTION DU TYPE DE BROSSE Ă DENTS UTILISĂ PostĂ© par SANTE PARODONTE le 11/12/2016 Le but de cette Ă©tude est de comparer quantitativement in vitro la rĂ©tention de 3 micro-organismes sur 4 types de brosses Ă dents diffĂ©rents trois brosses Ă©lectriques et une brosse manuelle. Commentaires Lire la suite... EVALUATION DE L'EFFICACITE DE LA BROSSE "BROXO PERIOSONIC" PostĂ© par SANTE PARODONTE le 10/12/2016 Le but de lâĂ©tude est dâĂ©valuer et de comparer l'efficacitĂ© clinique de la brosse "BROXO PERIOSONIC" en comparaison avec les brosses "SONICARE", "INTERPLAK" et "BRAUN" d'une part, et d'autre part avec un brossage manuel de contrĂŽle. Commentaires Lire la suite... La contamination microbienne des brosses Ă dents Ă©lectriques une comparaison entre les conceptions de brossettes Ă tĂȘtes pleines et les conceptions de brossettes Ă tĂȘtes creuses PostĂ© par SANTE PARODONTE le 10/12/2016 Le but de cette Ă©tude in vitro Ă©tait de comparer la contamination de rĂ©sidus microbiens entre une brosse Ă dents Ă©lectrique Ă tĂȘte pleine avec 2 brosses Ă tĂȘte creuse. Conclusion La brosse Ă dents Ă©lectrique Ă tĂȘte pleine Ă©tudiĂ©e est largement moins contaminĂ©e par les rĂ©sidus microbiens que les deux autres brosses Ă tĂȘte creuse aprĂšs 3 semaines d'utilisation biquotidienne avec un dentifrice non-antimicrobien. Commentaires Lire la suite... SIMPLICITE ET EFFICACITE EN HYGIENE BUCCO DENTAIRE PostĂ© par SANTE PARODONTE le 10/12/2016 LâhygiĂšne bucco dentaire est la base de la rĂ©ussite de tous les traitements des chirurgiens dentistes quelque soit leur spĂ©cialitĂ©. Elle engendre des publicitĂ©s exagĂ©rĂ©es Ă vocation purement commerciale alors quâun peu de bon sens et de rigueur suffit Ă enseigner Ă nos patients un emploi du temps quotidien qui permet de conserver simplement une dentition naturelle saine. Cet article apporte une rĂ©ponse claire aux interrogations des praticiens et aux questions des patients. Commentaires Lire la suite... Contamination bactĂ©rienne Comparaison de BROXOOrabrush, Philips Sonicare DiamondClean et Oral-BProfessionalCare Smart Series 5000 PostĂ© par SANTE PARODONTE le 10/12/2016 Contamination bactĂ©rienne Comparaison de BROXO Orabrush, Philips Sonicare DiamondClean et Oral-B ProfessionalCare Smart Series 5000 - ReprĂ©sentation visuelle de la contamination bactĂ©rienne des principales brosses Ă dents Ă©lectriques aprĂšs 3 semaines dâutilisation. Commentaires Lire la suite... RĂ©sumĂ© de l'Ă©tude sur la rĂ©tention des micro-organismes dans les brosses Ă dents PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/12/2016 PrĂ©sentation des conclusions de l'Ă©tudes universitaire sur la survie des micro-organismes dans plusieurs types de brosses Ă dents. Commentaires Lire la suite... Comment acheter une brosse Ă dents en toute sĂ©curitĂ© sur Internet ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Pour payer en toute sĂ©curitĂ© sur Internet une brosse Ă dents Ă©lectrique ou n'importe quel autre produit, utilisez un mot de passe diffĂ©rent de celui que vous utilisez pour accĂ©der Ă votre boĂźte email et vĂ©rifiez que le cryptage SSL reprĂ©sentĂ© par un cadenas ou https//www.... dans la barre d'adresse apparaĂźt sur votre navigateur au moment de renseigner votre numĂ©ro de carte bancaire. Nous prĂ©cisons que c'est le cas de notre site internet. Ainsi, vos coordonnĂ©es bancaires ne risquent pas d'ĂȘtre volĂ©es par un espion. Commentaires Lire la suite... Comment fonctionne la garantie d'une brosse Ă dents Oral-B ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 De base les produits Oral-B Braun sont garantis 2 ans. Sur simple enregistrement, Oral-B propose une garantie portĂ©e Ă 3 ans. Un coupon d'enregistrement est fourni Ă l'intĂ©rieur de l'emballage de la brosse Ă dents. Commentaires Lire la suite... Comment bĂ©nĂ©ficier de l'offre de remboursement Oral-B ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Vous pouvez bĂ©nĂ©ficier d'une offre maximum par foyer mĂȘme nom et mĂȘme adresse ou mĂȘme RIB ou mĂȘme ticket de caisse ou mĂȘme facture et par an. Par exemple, un remboursement en 2015 et un remboursement en 2016. Oral-B et CUSTOM PROMO remboursent par virement bancaire sous 6 Ă 8 semaines environ. Pour profiter de l'offre, il ne suffit plus d'acheter en France mĂ©tropolitaine, il faut aussi indiquer une adresse de facturation en France mĂ©tropolitaine, avoir un compte bancaire en France et acheter en pharmacie ou grande surface pas sur Internet. Commentaires Lire la suite... Comment entretenir un hydropulseur Waterpik, BROXO, Oral-B ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Votre jet dentaire ne tourne pas rond, le jet est faible. Que faire ? Le remplacer par un nouveau ? Pas forcĂ©ment. Comme tout appareil au contact de l'eau, votre hydropulseur s'entartre. Avec le temps, le tartre se dĂ©pose dans la pompe et dans les tuyaux de l'hydropulseur. Un entretien s'impose ! Commentaires Lire la suite... Comment fonctionnent la garantie et la maintenance Broxo ou Waterpik ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Votre appareil Broxo ou Waterpik est utilisĂ© quotidiennement dans le respect de la notice d'utilisation, puis un jour il ne fonctionne plus. Comment faire fonctionner la garantie Broxo ou Waterpik ? Commentaires Lire la suite... Waterpik SR-1000E La brosse Ă dents sonique sur batterie PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 VĂ©ritable rĂ©fĂ©rence en la matiĂšre, se classant devant toutes les autres marques de brosses Ă dents sans fil, Waterpik a rĂ©ussi la maĂźtrise parfaite du brossage ultrasonique. Une nouvelle expĂ©rience de brossage plus doux et plus respectueux des gencives. Contrairement aux brosses Ă rotation et percussion, Waterpik a choisi avec cette brosse Ă dents l'efficacitĂ© prouvĂ©e cliniquement des oscillations Ă frĂ©quence Ă©levĂ©e 500 par seconde. Attention cependant, le bruit des vibrations dĂ©rangera certains utilisateurs. Cette technologie trĂšs largement utilisĂ©e en raison de son coĂ»t de fabrication trĂšs faible, a un inconvĂ©nient majeur l'abrasion accĂ©lĂ©rĂ©e de l'Ă©mail. Commentaires Lire la suite... Comment ne pas perdre ses dents ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 "Il nây a rien qui Ă©blouit comme lâĂ©vidence ⊠lâĂ©vidence ça crĂšve les yeux au sens rĂ©el du terme ⊠on ne voit pas une Ă©vidence ⊠ça ne se perçoit pas dâune maniĂšre spontanĂ©e."_Dr AndrĂ© Gernez VidĂ©o d'AndrĂ© Gernez, "Le scandale du siĂšcle" Commentaires Lire la suite... Comment combattre la mauvaise haleine ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 La mauvaise haleine et l'utilitĂ© de la brosse Ă dents, de l'hydropulseur, du bain de bouche et de la soie dentaire. Depuis l'AntiquitĂ©, l'homme a dĂ» faire face au problĂšme de la mauvaise haleine. Quelle en est la cause et comment peut-on y remĂ©dier ? Tout d'abord il convient de se souvenir que l'odeur de l'haleine varie au cours de la journĂ©e. L'haleine est souvent fĂ©tide ou aigre le matin au rĂ©veil. Pendant la nuit la sĂ©crĂ©tion de salive diminue et l'action assainissante de la langue, des joues et des lĂšvres qui a lieu lors de la dĂ©glutition et de la conversation cesse pour ainsi dire complĂštement. La mauvaise odeur de l'haleine le matin peut ĂȘtre accentuĂ©e par une maladie chronique et mĂȘme par l'habitude de respirer par la bouche. On a rarement conscience de l'odeur de sa propre haleine car l'air que l'on expire sort par la partie infĂ©rieure des fosses nasales, tandis que les nerfs olfactifs sont situĂ©s dans la partie supĂ©rieure. Pour savoir si l'odeur de son haleine est mauvaise, il faut expirer dans le creux des mains tenues devant la bouche et le nez, puis renifler. Commentaires Lire la suite... Quelles sont les autres causes de la mauvaise haleine ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 La pyorrhĂ©e et d'autres maladies des gencives sont aussi une cause importante de mauvaise haleine. Une autoritĂ© en la matiĂšre dĂ©clara que ''la pyorrhĂ©e est la cause la plus rĂ©pandue de mauvaise haleine ''. Cependant, votre dentiste pourra faire beaucoup pour combattre cette affection et supprimer ainsi la mauvaise odeur qu'elle provoque. D'autres causes encore de mauvaise haleine sont les infections des sinus, de la gorge et des amygdales. Ceux qui souffrent de ces affections auront sans doute besoin de soins professionnels. InĂ©vitablement, certains aliments ont une odeur plus forte que d'autres. Des particules d'oignon ou d'ail restĂ©es dans la bouche exhalent une odeur trĂšs forte. Ceux qui aiment ces aliments et d'autres Ă odeur prononcĂ©e comme le chou, le chou-fleur et les fromages forts, ont intĂ©rĂȘt Ă bien se nettoyer la bouche Ă l'aide d'une brosse Ă dents Ă©lectrique et d'un hydropulseur aprĂšs en avoir mangĂ© ! Il est bon de savoir que le lait et le persil sont des dĂ©sodorisants naturels. Commentaires Lire la suite... EMMI-DENT â LA PROPRETĂ ULTIME ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 EMMI-DENT â LA PROPRETĂ ULTIME ? Ce produit n'est pas vendu sur notre site internet. Important Les affirmations du fabricant contenues sur notre site n'engagent pas SANTE PARODONTE. Commentaires Lire la suite... Liste complĂšte des 168 Ă©tudes cliniques sur Broxo PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Liste complĂšte des 168 Ă©tudes cliniques sur Broxo Commentaires Lire la suite... Brosse Ă dents wifi - sans risque ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 La nocivitĂ© des ondes wifi remise en question par des Ă©tudiantes danoises. Commentaires Lire la suite... Silicium Organique PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Créée 1999, la sociĂ©tĂ© LLR-G5 sâest rapidement implantĂ©e sur le marchĂ© du Silicium Organique avec sa gamme de supplĂ©ments Silicium Organique G5. LLR-G5 investit systĂ©matiquement dans des activitĂ©s de recherche et de dĂ©veloppement de haut niveau pour ses produits. Sa collaboration avec plusieurs groupes de scientifiques internationaux lui a valu de faire progresser sa rĂ©putation mondiale et son expertise en ce qui concerne le Silicium Organique et de devenir le chef de file du marchĂ© des supplĂ©ments de silicium. Commentaires Lire la suite... Comment fonctionnent la garantie et la maintenance Broxo ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Votre appareil Broxo est utilisĂ© quotidiennement dans le respect de la notice d'utilisation, puis un jour il ne fonctionne plus. Comment faire fonctionner la garantie Broxo ? Commentaires Lire la suite... Comment fonctionnent la garantie et la maintenance Waterpik ? PostĂ© par SANTE PARODONTE le 08/05/2015 Votre appareil Waterpik est utilisĂ© quotidiennement dans le respect de la notice d'utilisation, puis un jour il ne fonctionne plus. Comment faire fonctionner la garantie Waterpik ? Commentaires Lire la suite... La parodontite est-elle une invention des dentistes ? PostĂ© par Alexandre Imbert le 04/03/2014 Article relayĂ© par SantĂ© Parodonte avec l'aimable autorisation de StĂ©phanie Baisson. Consulter votre dentiste est essentiel pour Ă©viter des complications parfois inĂ©vitables par les solutions Ă©voquĂ©es dans cet article. Ă ce sujet, nous avons jugĂ© bon de publier, Ă la suite, le commentaire d'un dentiste expĂ©rimentĂ© Commentaires Lire la suite... 3I20. 205 304 160 242 383 420 317 52 201