Hier est derriĂšre, demain est mystĂšre, et aujourdâhui est un cadeau, câest pour cela quâon lâappelle le prĂ©sent. 0 0 213
Thérapiecognitive et comportementale (TCC), Méditation pleine conscience MBCT, mindfulness proche de Saint Etienne.
A partir du 14 juillet prochain, BenoĂźt Poelvoorde, Christian Clavier et GĂ©rard Depardieu seront Ă l'affiche du film "MystĂšre Ă Saint-Tropez". A cette occasion, Anne-Elisabeth Lemoine recevait hier soir dans "C Ă vous" Christian Clavier et BenoĂźt Poelvoorde. Ce dernier a d'ailleurs racontĂ© une anecdote sur le tournage du film, un gros fou rire provoquĂ© par GĂ©rard Depardieu "Il va se prendre une flĂšche dans le cul, c'est ça qui est gĂ©nial chez GĂ©rard, c'est qu'il joue le jeu".Et de poursuivre "On est dans les annĂ©es 70, c'est une ambulance des annĂ©es 70 et donc il y a une sorte de brancard des annĂ©es 70 et donc il faut le coucher sur le ventre avec une flĂšche qui sort de son derriĂšre".Et Christian Clavier d'ajouter "Il est tellement impatient, GĂ©rard. Il est allongĂ© sur le brancard, il a les jetons, il est impatient".Avant de raconter que sur le tournage, les deux figurants Ă©taient trĂšs impressionnĂ©s par GĂ©rard Depardieu qui leur faisait peur en hurlant "On est tous les deux en train de le regarder dans les personnages et là ça part. Il hurle de plus en plus 'AHHH !'", comme l'a rapportĂ© Christian Clavier tout en l' BenoĂźt Poelvoorde de poursuivre "Le problĂšme c'est que c'est un vieux brancard. Les ambulanciers Ă©taient trĂšs impressionnĂ©s parce que GĂ©rard crie beaucoup. Ăa ne veut pas dire qu'il est fĂąchĂ©, pas du tout"."Les deux ambulanciers prennent peur, alors ils devaient pousser le brancard et ça cognait. On craignait tout de mĂȘme que le brancard tombe, parce que GĂ©rard pĂšse son poids", a-t-il ajoutĂ© sous les rires des personnes prĂ©sentes en plateau.
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Jem'appelle Camille, J'ai 15 ans et demi (bientÎt 16 !!!), je suis née le 16 décembre 1992 à 15h 05 dans l'hopital de Morlaix, j'habite désormais à plourin les morlaix. Je suis lycéenne dans le lycée tristan corbiÚre a Morlaix et je passe en 1ere S option SVT ! Je joue au basket au Morlaix-St-Martin-Basket en équipe cadette.
Le COMTE et CHĂRUBIN cachĂ©s, SUZANNE, BASILE. BASILE. Nâauriez-vous pas vu monseigneur, mademoiselle ? SUZANNE, brusquement. HĂ© ! pourquoi lâaurais-je vu ? Laissez-moi. BASILE sâapproche. Si vous Ă©tiez plus raisonnable, il nây aurait rien dâĂ©tonnant Ă ma question. Câest Figaro qui le cherche. SUZANNE. Il cherche donc lâhomme qui lui veut le plus de mal aprĂšs vous ? LE COMTE, Ă part. Voyons un peu comme il me sert. BASILE. DĂ©sirer du bien Ă une femme, est-ce vouloir du mal Ă son mari ? SUZANNE. Non, dans vos affreux principes, agent de corruption ! BASILE. Que vous demande-t-on ici que vous nâalliez prodiguer Ă un autre ? GrĂące Ă la douce cĂ©rĂ©monie, ce quâon vous dĂ©fendait hier, on vous le prescrira demain. SUZANNE. Indigne ! BASILE. De toutes les choses sĂ©rieuses, le mariage Ă©tant la plus bouffonne, jâavais pensé⊠SUZANNE, outrĂ©e. Des horreurs. Qui vous permet dâentrer ici ? BASILE. LĂ , lĂ , mauvaise ! Dieu vous apaise ! il nâen sera que ce que vous voulez. Mais ne croyez pas non plus que je regarde monsieur Figaro comme lâobstacle qui nuit Ă monseigneur ; et, sans le petit page⊠SUZANNE, timidement. Don ChĂ©rubin ? BASILE la contrefait. Cherubino di amore, qui tourne autour de vous sans cesse, et qui ce matin encore rĂŽdait ici pour y entrer, quand je vous ai quittĂ©e. Dites que cela nâest pas vrai ? SUZANNE. Quelle imposture ! Allez-vous-en, mĂ©chant homme ! BASILE. On est un mĂ©chant homme parce quâon y voit clair. Nâest-ce pas pour vous aussi cette romance dont il fait mystĂšre ? SUZANNE, en colĂšre. Ah ! oui, pour moi ! BASILE. Ă moins quâil ne lâait composĂ©e pour madame ! En effet, quand il sert Ă table, on dit quâil la regarde avec des yeux !⊠Mais, peste, quâil ne sây joue pas ; monseigneur est brutal sur lâarticle. SUZANNE, outrĂ©e. Et vous bien scĂ©lĂ©rat, dâaller semant de pareils bruits pour perdre un malheureux enfant tombĂ© dans la disgrĂące de son maĂźtre. BASILE. Lâai-je inventĂ© ? Je le dis, parce que tout le monde en parle. LE COMTE se lĂšve. Comment, tout le monde en parle ! SUZANNE. Ah ! ciel ! BASILE. Ha, ha ! LE COMTE. Courez, Basile, et quâon le chasse. BASILE. Ah ! que je suis fĂąchĂ© dâĂȘtre entrĂ© ! SUZANNE, troublĂ©e. Mon Dieu ! mon Dieu ! LE COMTE, Ă BASILE. Elle est saisie. Asseyons-la dans ce fauteuil. SUZANNE le repousse vivement. Je ne veux pas mâasseoir. Entrer ainsi librement, câest indigne ! LE COMTE. Nous sommes deux avec toi, ma chĂšre. Il nây a plus le moindre danger ! BASILE. Moi je suis dĂ©solĂ© de mâĂȘtre Ă©gayĂ© sur le page, puisque vous lâentendiez ; je nâen usais ainsi que pour pĂ©nĂ©trer ses sentiments, car au fond⊠LE COMTE. Cinquante pistoles, un cheval, et quâon le renvoie Ă ses parents. BASILE. Monseigneur, pour un badinage ? LE COMTE. Un petit libertin que jâai surpris encore hier avec la fille du jardinier. BASILE. Avec Fanchette ? LE COMTE. Et dans sa chambre. SUZANNE, outrĂ©e. OĂč monseigneur avait sans doute affaire aussi ? LE COMTE, gaiement. Jâen aime assez la remarque. BASILE. Elle est dâun bon augure. LE COMTE, gaiement. Mais non ; jâallais chercher ton oncle Antonio, mon ivrogne de jardinier, pour lui donner des ordres. Je frappe, on est longtemps Ă mâouvrir ; ta cousine a lâair empĂȘtrĂ©, je prends un soupçon, je lui parle, et, tout en causant, jâexamine. Il y avait derriĂšre la porte une espĂšce de rideau, de porte-manteau, de je ne sais pas quoi, qui couvrait des hardes ; sans faire semblant de rien, je vais doucement, doucement lever ce rideau pour imiter le geste il lĂšve la robe du fauteuil, et je vois⊠Il aperçoit le page. Ah !⊠BASILE. Ha, ha ! LE COMTE. Ce tour-ci vaut lâautre. BASILE. Encore mieux. LE COMTE, Ă SUZANNE. Ă merveille, mademoiselle Ă peine fiancĂ©e, vous faites de ces apprĂȘts ? CâĂ©tait pour recevoir mon page que vous dĂ©siriez dâĂȘtre seule ? Et vous, monsieur, qui ne changez point de conduite, il vous manquait de vous adresser, sans respect pour votre marraine, Ă sa premiĂšre camĂ©riste, Ă la femme de votre ami ! Mais je ne souffrirai pas que Figaro, quâun homme que jâestime et que jâaime, soit victime dâune pareille tromperie. Ătait-il avec vous, Basile ? SUZANNE, outrĂ©e. Il nây a tromperie ni victime ; il Ă©tait lĂ lorsque vous me parliez. LE COMTE, emportĂ©. Puisses-tu mentir en le disant ! son plus cruel ennemi nâoserait lui souhaiter ce malheur. SUZANNE. Il me priait dâengager madame Ă vous demander sa grĂące. Votre arrivĂ©e lâa si fort troublĂ©, quâil sâest masquĂ© de ce fauteuil. LE COMTE, en colĂšre. Ruse dâenfer ! je mây suis assis en entrant. CHĂRUBIN. HĂ©las, monseigneur, jâĂ©tais tremblant derriĂšre. LE COMTE. Autre fourberie ! je viens de mây placer moi-mĂȘme. CHĂRUBIN. Pardon, mais câest alors que je me suis blotti dedans. LE COMTE, plus outrĂ©. Câest donc une couleuvre que ce petit⊠serpent-lĂ ! il nous Ă©coutait ! CHĂRUBIN. Au contraire, monseigneur, jâai fait ce que jâai pu pour ne rien entendre. LE COMTE. Ă perfidie ! Ă SUZANNE. Tu nâĂ©pouseras pas Figaro. BASILE. Contenez-vous, on vient. LE COMTE, tirant CHĂRUBIN du fauteuil et le mettant sur ses pieds. Il resterait lĂ devant toute la terre !
Hierest derriÚre, demain est mystÚre, et aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela qu'on l'appelle le présent. (Maßtre Oogway) 0. Signaler--the-king-- Messages postés 1366 Date d'inscription samedi 30 octobre 2010 Statut Membre DerniÚre intervention 30 avril 2013 210 2 avril 2011 à 09:36. merci 0. Signaler; Posez votre question Rejoignez la communauté et devenez membre
Tu as souvent entendu ces mots La vie est ce que tu en fais » mais quâen as-tu fait? Ne vois-tu pas que tu contrĂŽles ta vie, ton bonheur, ton succĂšs, tes joies et tes chagrins? La vie peut ĂȘtre merveilleuse, excitante et splendide, mais il ne tient quâĂ toi de la rendre ainsi en espĂ©rant le meilleur. Vis un jour Ă la fois et vis-le pleinement. Ne perds jamais de temps Ă tâinquiĂ©ter du lendemain et de ce quâil peut apporter, ni Ă te laisser aller au dĂ©couragement parce que tu sens que tu ne peux pas faire face Ă toutes les Ă©ventualitĂ©s? Regarde toujours le bon cĂŽtĂ© de la vie et concentre-toi dessus dans lâĂ©ternel prĂ©sent. Le fait quâhier ne sâest pas bien passĂ© ne veut pas dire quâil en sera de mĂȘme aujourdâhui. Laisse hier derriĂšre toi. Tires-en la leçon, mais ne le laisse pas gĂącher aujourdâhui. Aujourdâhui est devant toi, pur et sans tĂąche. Que vas-tu en faire? Vis un jour Ă la fois. Nâessaie pas de te prĂ©cipiter en avant, plein de projets pour demain, car demain ne viendra peut-ĂȘtre jamais. Jouis pleinement dâaujourdâhui; apprĂ©cie-le comme si câĂ©tait ton dernier jour. Fais toutes les choses merveilleuses auxquelles tu as aspirĂ©, non pas nĂ©gligemment, ni distraitement, mais avec une joie rĂ©elle. Sois comme un petit enfant qui nâa pas une pensĂ©e pour demain et a oubliĂ© ce qui est arrivĂ© hier, mais vis simplement comme si le seul moment qui importait Ă©tait maintenant. Maintenant est le moment le plus passionnant que tu aies jamais connu, alors nâen manque pas une seconde. Vis sur le qui-vive tout peut arriver Ă tout moment! Si tu vis de cette maniĂšre, tu es prĂȘt et ouvert Ă tout ce qui peut se passer. Les changements viendront et ils viendront trĂšs rapidement. ElĂšve ton cĆur en une profonde gratitude alors quâils arrivent, un par un. Vois toujours le meilleur dans chaque changement qui se fait. Peu importe si hier nâa pas Ă©tĂ© tout ce quâil aurait pu ĂȘtre. Hier est terminĂ© et parti, et tu ne peux rien y faire. En ce qui concerne aujourdâhui, câest une chose complĂštement diffĂ©rente; aujourdâhui sâĂ©tend devant toi, intact et immaculĂ©, et il ne tient quâĂ toi dâen faire le jour le plus merveilleux qui soit. Comment commences-tu chaque jour? Souviens-toi cela ne concerne personne dâautre. Câest quelque chose que toi et toi seul doit choisir dâaccomplir. Essaie de commencer la journĂ©e dans la paix et la satisfaction intĂ©rieures, en prenant du temps pour ĂȘtre tranquille et pour permettre Ă cette paix de tâemplir et de tâenvelopper. Ne te rue pas dans la journĂ©e sans prĂ©paration et sans harmonie. Si tu le fais, il est facile de garder avec toi cet Ă©tat dâesprit au cours de la journĂ©e, et de lui permettre ainsi de toucher la totalitĂ© de la journĂ©e ainsi que toutes les Ăąmes que tu cĂŽtoies. Il dĂ©pend de toi de choisir ce que ce jour sera et de le manifester tel. Pourquoi ne pas choisir dĂšs maintenant? RĂ©jouis-toi et rends grĂące Ă©ternellement, car tu sais que tu vis pour toujours. Tu parcours un jour Ă la fois, tu vis chaque moment pleinement et glorieusement, oubliant le passĂ©, sans inquiĂ©tude pour lâaveniracceptant simplement que la vie est Ă©ternelle et nâa ni commencement ni fin. Tout le temps tu grandis et tâĂ©largis en conscience, tu commences Ă comprendre le mystĂšre et la merveille que sont la vie Ă©ternelle et la rĂ©alisation de ton UnitĂ© avec Moi, le CrĂ©ateur de la vie. Pas Ă pas, tu avances et tâĂ©lĂšves, empli de paix, de tranquillitĂ© et de sĂ©rĂ©nitĂ©, prenant conscience que puisque tout repose entre Mes mains, il est inutile de tâinquiĂ©ter. Câest lorsque tu essaies de regarder trop loin devant toi que la vie devient un rĂ©el fardeau, et que tu apportes peur, incertitude et mĂȘme manque de foi et de croyance Ă beaucoup dâĂąmes. Deviens comme un petit enfant, libre et joyeux, et la vie sera pour toi une continuelle source de dĂ©lices. Crois en la vie et vis-la pleinement! TirĂ©e de La petite voix, mĂ©ditation quotidienne de Eileen Caddy Source
b7MfHBC. 248 331 206 83 152 288 173 293 272
hier est derriĂšre demain est un mystĂšre